vendredi 31 janvier 2014

A dada le Môssieur : L'Étude académique, 15/04 et 01/06/1904


Bonjour,

Je les aimais bien moi finalement mes Môssieurs Médèmes. C'était concon comme tout, rafraichissant et puis ça plaisait à toute la famille. Un vrai beau sujet fédérateur ça, les gens à poil. [Soupir] Aoumff !

Pour tout vous dire, ils me manquent un peu.
Alleeeez, on dit que je vous en remet quelques-uns de temps en temps, d'accord ?
Chic chic chic [Bat des mains en sautillant sur place] vous verrez ce sera bath... 
Oh je suis tellement content que j'allais oublier ça :

ATTENTION LES IMAGES QUI SUIVENT SONT ÉHONTÉMENT VIDES DE TOUT ÉQUIDÉ. C'EN EST INSOUTENABLE ! MÊME PAS UN P'TIT ÂNE DE RIEN DU TOUT ! PAR CONTRE Y'A UN GARS À POIL, MAIS ÇA NE COMPENSE PAS !

Alors voyons voir ce que j'ai dans mon énoÔorme classeur de gens à poil dans Gallica. 
[Farfouille]
[Farfouille]
[Farfouille]


  • Tiens par exemple j'ai un cavalier à poil. Et bien figurez vous qu'il est tellement à poil qu'il n'a même pas un cheval à se mettre entre les jambes, le cavalier :

... Ah et aussi, si c'est possible, je vous vends l'Écosse pour un zlip (Richard III, les scènes coupées au montage)
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


  • Le même, toujours à poil et sans cheval :
La virilité de l'homme et la puissance de l'action sont simplement traduites par l'expression mâle de l'attitude du gars qui fait la mine d'être à dada, la zigounette à l'air
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


  • Encore lui nu, de dos et peut-être voit-il un cheval au loin, mais pas nous :
"Ah Ah ! En avant mon fidèleTornado, nous allons nous jouer encore une fois du sergent Garcia et du capitaine Monasterio" (Extrait de Mon Zorro chez les nudistes)
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


  • Toujours lui et on dirait qu'il s'amuse bien avec son épée (notons toutefois l'absence de vêtements et de cheval) :
Ça, le fantassin à poil il est beaucoup moins mâlement virile... Ah si, je vous assure !
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


  • Ces images sont extraites de la revue l'Étude académique, dans le n° du 15 avril 1904 pour les quatre premières et le n° du 1er juin 1904 pour cette dernière qui est ma préférée :  
Le petit Marcel attendant patiemment le passage de la madame pour lui tendre fébrilement son petit ticket et ainsi gagner le droit de faire un tour de manège
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Je vous remercie de votre attention et au revoir. [Se lève de sa chaise et part vers le fond de la pièce dans une mauvaise tentative d'imitation de Giscard en 1981]

lundi 27 janvier 2014

Pataterie #14 : Le Petit Journal illustré 14/06/1925

Bonjour,

Apprenons aujourd'hui encore à titrer et légender comme des pros grâce à tonton Blouzouga et au Petit journal illustré :

  • Le Petit journal illustré, immortalise la fin tragique du plongeur polonais Willy Wolf en une du n° du 14 juin 1925 :

Un nom qui claque, un costume qui claque, une fin qui... Oui bah on va laisser comme ça !
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France



Même si ça a son petit côté cocasse, vous conviendrez avec moi qu'ils pouvaient difficilement titrer autre chose.
Parce que "Le plongeur de la mort est mort" n'est pas très beau, et "Le plongeur de la mort, l'est" n'est plus très compréhensible, du coup... Et de toute façon ça se passe à Nantes et je ne vois pas pourquoi on parle de ça.

Je vous remercie de votre attention.

jeudi 23 janvier 2014

Pataterie #13 : Le Matin, 14/04/1910

Bonjour,

L'histoire qui nous est contée dans la pataterie d'aujourd'hui est assez saisissante.
Elle met en scène Marguerite Durand, journaliste, féministe, fondatrice du journal La Fronde et qui lance l'idée de candidatures féminines aux élections législatives de 1910.
Bon, comme vous vous en doutez peut-être, son idée n'a pas vraiment abouti... pour ces élections là du moins... ni celle d'après... ni celle d'après non plus... ni celle d'encore après, non... Attendez peut-être queeeee, ah non au temps pour moi celle d'après non plus... C'est bon vous avez compris le principe ?
Alors Marguerite, bonne joueuse se dit que peut-être les hommes ont raison et puis tiens moi je vais m'occuper d'autre chose comme tricoter un joli pullover pour mon mari, par exemple... Heu non en fait, elle ne fait pas ça Marguerite, c'est pas trop trop son genre.
Et comme c'est une marrante, elle se dit que plutôt que de péter des dents à des phallocrates à grands coups d'urne électorale sur le coin de la djeule elle va plutôt bien les leur faire grincer, les dents... Mais alors bien-bien, hein !

  • Lisez plutôt cet article dans le n° du 14 avril 1910 du journal Le Matin :

Houuu pétard, faut pas l'emmerder, Marguerite
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

L'article commence pas trop mal, et puis il y a ces derniers paragraphes...
Parce qu'il se pose là, dans le genre, j'ai compris l'argument, mais au final je préfère continuer de me foutre de la gueule de ces suffragettes qui sont incapables de s'entendre... AHAHAH, les connes.
La fameuse technique quand on n'a plus d'arguments du oh-regardez-là-bas-une-crèpe-au-fromage-qui-vous-appelle, matinée de Oh-les-filles-déjà-vous-vous-entendez-entre-vous-et-on-en-reparle-après

Un autre article daté du 15 avril 1910 dans le Petit Journal, cette fois-ci, relate cette même réunion, sans citer Marguerite Durand, certes, mais au moins on sent que l'argument a porté. C'est le premier article en une, vous ne pouvez pas le louper.

Je vous remercie de votre attention et j'espère vous revoir pour une prochaine note.

lundi 20 janvier 2014

Pataterie #12 : Le Petit journal illustré 05/08/1923

Bonjour,

Aujourd'hui, nous allons apprendre à réagir face à quelqu'un qui veut en finir avec la vie.
Règle Neumbeur ouane : Ne jamais, mais alors JAMAIS appeler un gendarme à l'aide ! Ja-mais !

  • Illustration en couverture du n° du 5 août 1923 du Petit Journal illustré, nous contant l'histoire de cet ouvrier polonais qui, suite à son licenciement, tenta de se suicider en se pendant à un arbre en bordure d'une route en Lorraine  :

"Si tu te répètes que la vie ne vaut pas d'être vécue j'te mets une balle entre les deux yeux, t'as compris ?"
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Extrait du manuel du parfait gendarme  : 
Dans un cas comme celui-ci , si la menace de votre arme ne suffit pas, vous pouvez prendre un passant en otage et menacer de le liquider en hurlant "JE SUIS UN GEUDIN, ATTENTION !! ALORS T'AS INTÉRÊT À ME CROIRE QUAND JE TE DIS QUE SI, Y'A DES GENS QUI T'AIMENT"

Je vous remercie de votre attention et je vous dis à la prochaine.

samedi 18 janvier 2014

Heu... Je... Sivouplé...

Heuuuu... Hum hum ! Ouiii, excusez moi messieurs-dames, je...
Oui, bonjour. Voilà je m'appelle Blouzouga Memphis, je suis le "propriétaire" de ce blog et comme vous me faites l'amabilité d'être venus, je tenais à vous dire et bien bonjour, quoi.

Alors déjà ne faites pas trop attention au fouillis et à la poussière... Et puis je suis désolé mais je n'aurai pas assez de chaises pour tout le monde. Parce que fiouuuu z'êtes un peu nombreux là.

Alors je dois une explication à mes quelques visiteurs "ordinaires". Regardez plutôt cette petite capture d'écran de mon petit tableau de statistiques de visites du blog, vous comprendrez ma situation :

C'est bon les gars, le cœur est reparti on peut arrêter le massage cardiaque
Le 10 janvier, je mets ma note en ligne sur Quart-de-Brie et Sac-à-Puces. Ce même jour Gallica a l'amabilité d'en parler sur un réseau-zozio et j'explose mes fréquentations avec 239 vues en 1 jour. Je suis plutôt content de moi, je commence à toiser les gens dans la rue en me disant "s'ils savaient qui je suis". Je deviens peu à peu ce que l'on appelle communément un "petit connard". Puis ça retombe.
Jusqu'à ce qu'une semaine plus tard... Bim 1161 vues en une journée. Alors que je n'ai rien fait, à part un p'tit post la veille qui a fait ses 65 visites tranquillou.


Vous savez comment je me sens, là ?
Eh bien si vous voulez savoir je me sens un peu comme le baron de Corbier au bal masqué de la Comtesse de Villarson (image, extraite du numéro d'avril 1904 de la revue Les Modes) :
 
T'es le king, Blouzouga, c'est toi le fuckin' king, ici !
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Merci donc d'être venus si nombreux et j'espère tous vous revoir bientôt, par exemple juste après que j'ai publié ce post... J'ai les adresses IP de tout le monde de toute façon et je vous appellerai un par un s'il le faut. 
Merci aux p'tit gars zet filles de chez Gallica, je je je... Je ne vous hais point, là c'est dit. 
Merci à papa et maman d'avoir bien voulu jouer leur propre rôle dans ce post... Mais non maman j'ai pas les adresses zippées de tout le monde, c'est une blaaaague.

Bon weekend à tous.

Nota : 
Je signale à toutes fins utiles que les images de ce blog cachent en leur sein, la plupart du temps, quelques bonnes blagues dont je ne suis pas peu fier. Il vous suffit, pour les révéler, de passer votre souris au-dessus de l'image, de la laisser quelques dixièmes de secondes et hop c'est la poilade assurée. Il en va de même avec des mots ou phrases entières que j'ai fait apparaître en gras et de couleur gris-verdâtre pour vous les signaler. Mes excuses auprès des utilisateurs de smartphones et tablettes, car ça ne marche pas avec ces matériels là. Si quelqu'un a une solution, d'ailleurs, je suis preneur.

jeudi 16 janvier 2014

Pataterie #11 : La Féérie illustrée [...], 09/04/1859

Bonjour,

Aujourd'hui, c'est mal de crâne assuré avec cette pataterie.

  • Illustration pour une scène du roman feuilleton "Satan et la tête sans corps" dans le n° du 9 avril 1859 de la revue la Féérie illustrée : romans et contes fantastiques inédits, légendes, voyages imaginaires, chroniques populaires, courrier diabolique.

Marthe ne savait pas vraiment ménager ses effets et c'est en cela qu'elle avait encore beaucoup à apprendre pour devenir une professionnelle de l'effeuillage.
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Ce qui m'intéresse ici, c'est plutôt la légende que l'illustration elle même :
"Les bras de Marthe, la fiancée morte, enlevèrent de dessus ses épaules la tête d'Esther la guillotinée (Satan et la tête sans corps, n° 16)"
Je n'ai pas lu le reste du roman et n'en ai pas plus envie que ça, mais ce n'est pas pour ça que je vais m'empêcher d'avoir un avis totalement partial sur cette histoire, en me basant sur une seule et simple phrase, car tel est mon crédo depuis le début de ce blog, et tel il restera.

Donc, nous avons Marthe. Elle est fiancée. Heu, en fait elle ÉTAIT fiancée puisqu'elle est morte. Mais bon, en même temps, elle fait encore des trucs du genre "enlever la tête d'Esther la guillotinée de dessus de ses épaules"... Alors bon, on peut dire sans trop s'avancer qu'elle est quand même un peu vivante, non ? 
Mais en même temps, quand elle avait encore la tête d'Esther sur ses épaules, pouvait on dire qu'elle était LA fiancée ? Parce que je veux bien qu'avec sa vraie tête on la considère comme la fiancée, ce qui est déjà un peu réducteur à mon avis, mais avec la tête d'une autre ? 
Du coups, dans ce cas là le corps est bien fiancé, mais la tête l'est-elle aussi ? Je ne veux pas dire par là qu'une guillotinée ne peut pas avoir été fiancée, je veux simplement souligner le fait qu'avec la tête d'Esther sur les épaules je ne suis pas sûr que l'on puisse dire qu'il s'agisse toujours de Marthe (la fiancée)... ou d'Esther (la guillotinée) d'ailleurs.
Je ne sais vraiment pas ce que dit le droit sur les unions avec les morts et a fortiori avec les corps sans têtes ou les têtes sans corps, mais je ne pense pas qu'il soit très très permissif.
Tout cela est d'autant plus embrouillé que l'on se rend compte que le titre du roman évoque LA tête sans corps. 
Alors arrivé à ce point, je ne peux que me poser les questions suivantes : 
Si l'on a une tête appartenant à Esther et un corps appartenant à Marthe, où sont le corps d'Esther et le corps de Marthe ? 
Vivent-ils leur petite vie ensemble également ?
Sont-ils heureux ? 
Et du coup quelle est leur situation familiale : marié, fiancé, guillotiné, célibataire ?
Et la question essentielle : 
Que vient faire Satan là dedans ? 
Pourquoi pas le loup-garou, Dracula, Éric Zemmour ou les zombies tant qu'on y est ? 
Parce que ça va bien hein, on a déjà deux têtes sans corps et deux corps sans têtes, on va peut-être pas en rajouter dans les trucs horribles, quand même ? 
À moins que "Satan" ne soit l'explication à tout ce bazar un peu foufou. Du coup ça permet de désamorcer les questions qu'un gars comme moi aurait :  "Ah bah puisque c'est Satan, y'a pas à chercher une cohérence", qu'il penserait comme ça le gars comme moi qui pose trop de questions. Notons au passage qu'avec un principe assez similaire l'ancien et le nouveau testament continuent à plutôt bien se vendre de nos jours et ce depuis pas mal de temps quand même.
Si vous trouvez que j'embrouille tout avec mes questions vous pouvez aussi lire l'histoire vous même hein... Moi j'ai autre chose à faire, si on va par là, comme téléch... regarder légalement la 5ème saison de Dexter... Et là j'aime mieux vous dire que c'est autre chose, hein. On est dans un scénario béton, cohérent et totalement crédible (rires).

Je vous remercie et  j'espère vous revoir très bientôt pour une prochaine note.

Nota : 
Vous constaterez que :
- Je n'ai à aucun moment parlé de fuite des cerveaux,
- Je n'ai pas évoqué les Jivaros quand j'ai écrit "réducteur",
- Je n'ai utilisé aucune des expressions suivantes : "des pieds à la tête" ; "la tête du client" ; "en tête à tête" ; "chanter à tue tête", etc.
Je pense donc pouvoir dire que j'ai atteint ce que l'on appelle la phase 10 chez les calemboureurs anonymes : 
"Nous avons poursuivi notre inventaire personnel et promptement admis nos torts dès que nous nous en sommes aperçus"
Reste l'étape 11 : 
Je tiens donc à m'excuser auprès de ceux à qui j'ai pu faire du tort : 
- Les tortues elles-même, puisqu'on en parle... pas,
- Messieurs Yau de Poële et Lamatla,
- Les randonneurs revenant de Chine,
Et toutes les personnes que j'ai pu heurter pendant ma trop longue période de dépendance calembouresque.

vendredi 10 janvier 2014

Pataterie #10 : Le Petit journal illustré, 12/12/1925 et 06/08/1922

Bonjour,

Une pataterie qui dénonce le plus gros plagiat de la bande dessinée de tous les temps. Je ne citerai pas de nom pour éviter un procès, mais sachez que je parle d'un certain petit reporter en pantalon de golf et de son compagnon canidé.

  • L'annonce dans le n° du 12 décembre 1925 de l'arrivée prochaine d'une nouvelle bande dessinée dans les colonnes du Petit Journal illustré :

On le sait peu, mais c'est parfois ainsi que les appelle leur ami le Capitaine lorsqu'il est colère après eux
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Et ce n'est là que le premier plagiat, car le Petit Journal illustré s'est également fait piquer beaucoup plus récemment un autre de ses personnages emblématiques pour une série de livres puis de films à succès et ça dans le silence le plus total. 
  • Voyez plutôt cette image extraite du Petit Journal illustré du 6 août 1922 :

Ça ne vous rappelle vraiment personne, vous ?
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Je vous remercie de votre attention et sachez que si je ne poste pas de nouvel article sous peu, ce sera peut-être parce que les puissants Lobbies Petitreporteràhoupetteetenpantalondegolfophile et/ou Petitsorcieràlunetterondophile auront essayé de me museler.

_______
Petites précisions rajoutées ce même jour mais plus tard dans la journée : 
1) Il semblerait que le 85ème anniversaire du petit reporter tombe aujourd'hui même... TRUC DE DINGUE je ne le savais même pas et moi qui leur casse leur com' du jubilé avec mon petit post... Quelqu'un connait un bon avocat pas trop cher ?
2) Le gars qui a dessiné Quart-de-Brie et Sacs-à-Puces n'est ni plus ni moins que ZEP !! (Je n'avais pas fait attention jusque là, buse que je suis.)... 
Regardez-donc si vous ne me croyez pas : Quiqueliquez donc si vous l'osez !
 Zep, Titeuf, tout ça vous le remettez ? VOUS VOUS RENDEZ COMPTE DE LA BOMBE QUE J'AI LANCÉ LÀ ??? Vous vous rendez compte de l'énoÔorme complot belgo-suisse que je viens de lever, là ?!? Vous connaitriez pas non plus un bon garde du corps qui prendrait les chèques emploi solidarité ?

lundi 6 janvier 2014

Bonne année 2014 à toi, toi toi et toi mais pas à toi, par contre toi oui... : Le Petit journal. Supplément illustré, 03/01/1891, Paris Plaisir, 25/05/1924

Bonjour,

Il est de bon ton en ce début d'année de se la souhaiter bonne... l'année.
Alors comme je suis un garçon poli :
Blouzouga Memphis et la patate sacrée du Machu-Pichu inc. vous souhaite une bien bonne année 2014 à base de "Pouêt pouêt pouêt pouêt", ou de tout ce qui vous fera plaisir.

Dans ces moments là, on choisit généralement d'envoyer quelques mots à ses lecteurs, accompagnés d'une belle image censée représenter la liesse, l'année nouvelle et des chatons dans un panier.

Je n'ai pas de chatons, mais pour ce qui est de la liesse, j'ai :
  • C'est trop la teuf dans le n° du 3 janvier 1891 du Supplément illustré du Petit Journal :

... De la part des producteurs de gros rouge.
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
 

Non mais c'est pour rire en fait, je ne souhaite pas bonne année à la France seulement, je souhaite également bonne année à tous nos enn... à tous les autres.



Ma vraie image de carte postale pour 2014 sera celle là :

  • La revue Paris-Plaisir dans son n° du 25 mai 1924 nous présente mademoiselle X... :

En attendant de découvrir le banjo, Mademoiselle X se met au Ukulele
(Message du descripteur de mauvais jeu de mot Blouzouguesque juste avant son suicide : "Assurément, il ne peut s'agir que d'une référence au Boson de Higgs... Oui c'est très mauvais... Argh !")
Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
 

Attation attation, il s'agit d'un trésor : vous avez devant vous, ni plus ni moins que la PREMIÈRE image de Pin-up avec un Ukulele... Du moins jusqu'à ce que quelqu'un me contredise en me présentant une image plus ancienne. Patrick Peccatte de l’excellentissime blog "Déjà vu", je vous attends, et j'ai même pas peur !!!

Je vous remercie de votre attention et, je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit, mais bonne année hein ! Je vous parle de la santé où on s'en tient là ?