jeudi 10 avril 2014

Pataterie #24 : Le Petit journal illustré, 28/12/1924

Bonjour,

Il se trouve que sur ce blog j'ai parfois abordé la question du féminisme et des combats des féministes au début du vingtième siècle, comme le droit de vote des femmes, par exemple.

J'imagine donc que si mon blog avait suffisamment de lecteurs pour avoir des critiques je pourrais avoir des commentaires comme celui-ci :
"Mon petit Blouzouga, ne penses-tu pas qu'il n'y a vraiment rien de plus important, comme combat, que le vote des femmes ? Vraiment ? Dans les années 20 ? À l'heure de la récession ? Alors qu'on se relève à peine d'une guerre énorme ? Que les fascismes de toutes sortes pointent gentiment leur tronche ? Le droit de vote des femmes ? Tssss et pourquoi pas le droit de travailler sans le consentement de son maris, non plus..."
Ou bien encore :
"Ah ça, par contre, on n'en parle pas beaucoup des combats masculinistes ! Hein ! Comme... heuu... par exemple... empêcher, par exemple, les femmes d'avoir les même droit que les hommes, par exemple ."
[Aparté]
Tenez  bien compte du fait 
que ne suis pas un spécialiste 
des combats de ces connards. 
Veuillez donc m'excuser 
si je ne caricature pas assez, 
puisque c'est sans doute encore pire 
que tout ce que je peux imaginer.

Je prends donc en compte ces critiques imaginaires que j'aurais pu avoir si j'avais eu des commentaires et je répare mon oublis avec cette pataterie, dont il pourrait bien apparaître qu'il s'agit, en fait,  du premier combat emblématique des masculinistes contre les féministes...

  • Le Petit journal illustré, dans son n° du 28 décembre 1924, relate et illustre un drame qui eut lieu à Saint-Étienne-des-Champs, près de Clermont-Ferrand :
"Des cohortes de femmes vont venir chez vous... En PANTALON... Trembleeeeez !"
(Scènes du projet de film d'Éric Zemmour : Les féministes zombies de l'apocalypse avec des jeunes noirs et des arabes aussi parce que je les aime pas trop trop non plus)

Source : gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Je vous remercie de votre attention et ne vous inquiétez pas trop si je ne vous écris aucune note la semaine prochaine, c'est parce que je serai en vacance dans un pays arriéré où la technologie n'est pas aussi avancée qu'ici et où il sera donc bien compliqué de trouver une connexion Internet : LA PROVINCE.

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