vendredi 5 septembre 2014

MacaÂabrerie #3 : Le Petit journal illustré, 14/08/1926

Bonjour,

Vous ça va ? Moi ça va. 
Alors pour tout vous dire, j'ai passé mes vacances en Bretagne et on a eu un très beau temps. Mais je ne vais pas vous parler de ça dès la rentrée, je ne suis pas votre collègue de la compta, non plus. Et puis je n'ai pas vraiment envie que vous me parliez de vos vacances à vous. Ah ça non, sans façon.

La MacÂabrerie de la rentrée a aussi passé ses vacances en Bretagne et nous a ramené un bien joli cliché Corse. Z'inquiétez pas, z'allez comprendre.
  • Illustration d'un drame en Bretagne, extraite du n° du 14 novembre 1926 du Petit journal illustré :
Les dangers du bilboquet en extérieur, dans sa variante dite "de Gaston
(mais sans le casque à pointe)

Il s'agit donc d'une terrible histoire de VENDETTA en Bretagne pour un droit de passage refusé.
Mais c'est également l'histoire d'un des suicides les plus cons dans l'Histoire des suicides à la con.

Quoi de mieux qu'une petite macaÂabrerie sur le thème du suicide pour la rentrée ?
Ah non, vraiment, ce Blouzouga, il est trop fort.

Je vous remercie de votre attention et vous souhaite de chouettes collègues qui ne vous bassinent pas avec leurs vacances. Je vous ai dit qu'il faisait beau en Bretagne cette année ?

3 commentaires:

  1. Je suis originaire de cette région, "l'extrême pointe de Bretagne", s'il s'agit de la Pointe du Raz. Et étant donné le nombre élevés de suicides (dont 2 se sont jetés de la falaise en voiture, un autre dans un port, plusieurs pendus dont un trouvé dévoré par les rats, un autre suicidé par ingurgitation de mort aux rats) dans la famille ou le voisinage, dont j'ai entendu parler depuis toute petite, cet article ne me fait malheureusement pas franchement rire...
    Je vous invite à lire cet article par exemple : http://ile-de-groix.info/article.php3?id_article=825

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    1. Bonjour,
      Je comprends que cet article ne vous fasse pas rire. J'en suis désolé.
      Ça ne m'empêchera tout de même pas de penser que si la mort ne prête pas à rire, c'est justement pour cela que les rires, il faut les lui voler.
      Je ne peut m'excuser que de mon manque de talent et de ma lourdeur dans cette entreprise face à un monument comme "Idées Noires" de Franquin que j'ai l'outrecuidance de citer justement dans cet article (Le bon maître me le pardonne).
      Je n'effacerai en revanche pas un mot de ce que j'ai écrit, mais je vous remercie d'avoir pris la peine de me laisser un commentaire qui m'a permis de me poser des questions sur ce que j'écrivais et l'effet que cela pouvait avoir.
      Patatement vôtre

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  2. Cher Monsieur Memphis,

    je ne puis que rejoindre le précédent commentaire sur la tragédie des suicides à pieds sec. En effet, l’âme maritime bretonne à de tout temps poussé le Celte, des habitants d’Ys en passant par les scouts marins et Patrick Tabarly à rejoindre le grand cycle du cosmos plus ou moins volontairement en confiant ses restes noblement imbibés de Lambic au crustacés du coin.
    Ô tourteau, ô bouquet, ô homards, Grands Véhicules du Samsara celtique, soyez vénérés. Puisse le Karigel an Ankou relever ses saints casiers que et votre règne arriver avec une mayonnaise au citron !

    Colonel de la Patelle

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Allez-y faites pas vos timides, je ne vais pas vous manger, je vais juste vous modérer un peu !